Place aux Rencontres !
Communication et activités
À moins d'une semaine de l'événement, le déroulement de la soirée est dévoilé. Survol des événements à surveiller lors de cette édition.
L’ADISQ profite de cet événement pour saluer le travail de différents intervenants de l’industrie musicale et de l’industrie de la radio. Des prix artistiques seront aussi remis.
La prochaine édition des Rencontres aura lieu le 2 avril au Marché Bonsecours de Montréal. La programmation est maintenant complète et vous pouvez vous inscrire en cliquant ici.
Cette journée de discussions et d’échanges sera suivie de la traditionnelle Soirée des Prix Rencontres, animée cette année par Sébastien Benoît.
La soirée donnera l’occasion aux professionnels de l’industrie musicale de se retrouver et de reconnaître le travail de leurs pairs. En effet, l’ADISQ profite de cet événement pour saluer le travail de différents intervenants de l’industrie musicale et de l’industrie de la radio. Des prix artistiques seront aussi remis.
La Soirée des Prix Rencontres est également l’occasion de découvrir des artistes qui ont su trouver leur place dans l’univers musical au cours de la dernière année. Cette année, la soirée sera colorée par les performances musicales de La Bronze, Olivier Dion et Philippe Brach.
Pour consulter la liste des industriels en nomination cette année, cliquez ici.
À surveiller dans le cadre de la journée :
Sous le thème « l’ambition de se faire entendre », les Rencontres présenteront un portrait actuel et lucide de l’industrie musicale et tenteront de répondre, à l’aide d’experts et de professionnels chevronnés, à plusieurs questions concernant l’avenir de cette industrie.
Conférence de Marcel Boyer
Les redevances sur la musique sont trop faibles : pourquoi et de combien ?
Entretien avec Maxime Rémillard
Dans un échange avec Éric Salvail, Maxime Rémillard nous fera part de sa vision de la contribution du Groupe V Média au développement de la musique québécoise.
Deux ateliers à ne pas manquer :
Les SML sont-ils nos partenaires de demain ?
La tâche d’un service de musique en ligne, c’est de programmer… par algorithmes, par l’humain, par genre, par ambiance. Programmer pour plaire. Comment s’y consacre-t-il ? Comment intègre-t-il le contenu québécois ? La présence du contenu local est-elle avantageuse pour le service qui cherche à s’implanter sur un marché ? Comment travailler pour que la production indépendante tire son épingle du jeu ? Comment obtenir un meilleur positionnement du contenu, des ententes plus
avantageuses pour les ayants droit ? La filière musicale pourra-t-elle imaginer en vivre un jour ? Sinon, quels seraient les derniers remparts pour s’en assurer ?
Monétisation : le FST, ce joueur manquant à la table
Bien qu’aujourd’hui les fournisseurs de services de télécommunications ne soient pas obligés de contribuer au développement des contenus culturels au-delà de la mise en place du régime Avis et Avis découlant de la loi canadienne sur le droit d'auteur, quelle serait la solution pour les impliquer financièrement dans la chaîne, sans refiler la note au consommateur ? Des initiatives internationales porteuses pourraient-elles être importées au Canada ? Y a-t-il d’autres initiatives envisageables ?
